avec Audrey Bonnet, Stanislas Nordey
Dans une grande salle blanche, une femme et un homme se parlent. C'est lui qui débute la conversation. Elle écoute, attentive, et lui répond par un second monologue. Ils évoquent leur séparation, parlent de l'avant et du maintenant.
Dans la brutalité d'un verbe omniprésent, dans l'incroyable rigueur d\'une écriture froide et meurtrière se déroule un combat sans merci. Stanislas attaque et Audrey doit se battre contre l'effacement qu'il veut lui imposer. Ils sont à armes égales, mais ne les utilisent pas de la même façon. Il y a le masculin et le féminin. Il y a deux regards, deux silences, deux paroles pour dire la violence d'un amour qui meurt.
Certainement l'une des meilleurs pièces du IN 2011.
Des comédiens impressionnants et un texte très fort.
A voir Absolument.
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